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  • Législatives au Sénégal: qui a gagné la bataille de Dakar?

    Par RFI Publié le 31-07-2017 Modifié le 31-07-2017 à 22:50

    Au Sénégal, tout le monde attend les résultats définitifs des législatives de dimanche. Ils devraient être annoncés d'ici mercredi. La victoire de la coalition de Macky Sall est définitive mais il n'est pas possible, pour le moment, d'en mesurer l'ampleur. L'attente des résultats provoque de nouvelles tensions avec l'opposition, notamment, pour savoir qui a gagné la bataille de Dakar.

    Khalifa Sall - maire de Dakar devenu député en prison – ainsi que ses proches ont fait de Dakar leur fief, leur base. Pour eux, il est visiblement inimaginable de perdre ce territoire. Lors d'une conférence de presse, ce lundi 31 juillet, sans avancer de preuves concrètes, ils ont accusé la majorité de hold-up électoral. « Ce qu’il faut retenir, c’est qu’en dépit de toutes ces violations et difficultés, la victoire de notre coalition Mankoo Taxawu Senegal dans le département de Dakar est sans contestation. Nous n’accepterons pas de voir un hold-up électoral. Nous ne l’accepterons pas », a déclaré Cheikh Gueye.

    Pour le président Macky Sall qui voit en Khalifa Sall un adversaire potentiel pour la présidentielle 2019, la prise de Dakar était une priorité. Dans la bataille, il a placé ses fidèles lieutenants, notamment son ministre des Finances. Amadou Ba a décidé, comme les autres mentors de la coalition présidentielle, de garder le silence et de ne pas répondre aux attaques de l'opposition. Sa seule déclaration, il l'a faite au cœur de la nuit de dimanche à lundi, pour revendiquer la victoire de Dakar.

    « La coalition Benno Bokk Yakaar gagne à Dakar et Dakar est sous le contrôle de Benno Bokk Yakaar », a-t-il déclaré.

    Les proches de Khalifa Sall ont déjà promis de déposer des recours en justice mais ils devront, pour cela, attendre, comme tout le monde les résultats définitifs de ces législatives.

    Chronologie et chiffres clés
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  • Urgent / Accident du bus des cadets maliens: les Aiglons échappent à un carnage. Négligence coupable du département du sport

    Le bus qui transportait la délégation malienne comprenant les cadets maliens vient de faire un accident en provenance d’Abidjan. L’accident s’est produit dans le village de Elibo à 5 km de Tassalé.  Les Aiglons avaient participé aux jeux de la francophonie à Abidjan. Selon nos informations le bus a fait tonneau. Mais plus de peur que de mal. La seule victime serait un passant.

    Des dispositions ont été prises pour que la délégation regagne Abidjan  située  à 100 km du lieu de  l’accident pour – Dieu soit loue –  regagner Bamako par avion. Il faut préciser que le Mali est le seul pays qui a effectué le déplacement par bus.  Le budget alloué au dit département était de 110 millions de FCFA.

    Urgent / Accident du bus des cadets maliens: les Aiglons échappent à un carnage. Négligence coupable du département du sport

    La rédaction de maliweb.net

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  • Urgent / Accident du bus des cadets maliens: les Aiglons échappent à un carnage. Négligence coupable du département du sport

     

    Le bus qui transportait la délégation malienne comprenant les cadets maliens vient de faire un accident en provenance d’Abidjan. L’accident s’est produit dans le village de Elibo à 5 km de Tassalé.  Les Aiglons avaient participé aux jeux de la francophonie à Abidjan. Selon nos informations le bus a fait tonneau. Mais plus de peur que de mal. La seule victime serait un passant.

    Des dispositions ont été prises pour que la délégation regagne Abidjan  située  à 100 km du lieu de  l’accident pour – Dieu soit loue –  regagner Bamako par avion. Il faut préciser que le Mali est le seul pays qui a effectué le déplacement par bus.  Le budget alloué au dit département était de 110 millions de FCFA.

    Urgent / Accident du bus des cadets maliens: les Aiglons échappent à un carnage. Négligence coupable du département du sport

    La rédaction de maliweb.net

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  • Touba : Les bureaux de vote saccagés au centre Baye Lakhad

    Touba est en colère. Des électeurs sont entrés au centre de vote de l'Université Baye Lakhad pour y détruire le matériel électoral. Selon RFM, les bureaux de vote, au nombre de 80 ont été saccagés et les isoloirs détruits. Pour l'heure, les fauteurs de trouble n'ont pas encore été identifiés.

    Mais selon des informations, il s'agit des militants de la coalition Mànkoo Taxawu Senegaal. Ces derniers avaient dans un premier temps assiégé la préfecture pour déplorer l'absence de leurs bulletins dans les bureaux de vote.

    À Touba, le vote a démarré un peu après midi. En raison de plusieurs couacs notés, entre autres, l'absence de bulletins de vote, le scrutin a été prolongé jusqu'à minu

    Auteur: Seneweb News - Seneweb.com

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  • Migrants: nombreuses réactions après les dernières annonces du président Macron

    Par RFI Publié le 28-07-2017 Modifié le 28-07-2017 à 18:08

    Des questions subsistent encore après les annonces d'Emmanuel Macron sur sa politique migratoire. Dans un discours prononcé jeudi, le président français a clairement distingué les réfugiés politiques et les migrants économiques. Il veut examiner les demandes d'asile «en amont», directement sur le terrain dans ce qu'on appelle des «hotspots», des centres d'examen. L'Elysée dit avoir identifié des zones dans le sud libyen, le nord-est du Niger, et le nord du Tchad pour installer des centres de l'OFPRA, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. Une nouvelle mesure qui suscite des commentaires.

    L’annonce de ces hotspots, centre d’examen pour migrants, a été largement commentée. Parmi les pays concernés, il y a le Tchad. Pour le ministre tchadien des Affaires étrangères, la priorité, ce n'est pas d'intercepter les migrants avant qu'ils ne partent, mais plutôt de trouver une solution pérenne pour créer des emplois qui puissent retenir ces jeunes.

    Le président Déby l'a déjà dit, il souhaite que l'Europe s'engage sur un plan de développement. Une sorte de plan Marshall pour l'Afrique et en particulier pour le Sahel. Pas de réactions officielles encore du côté du Niger et de la Libye, autres pays concernés par ces centres d’accueil de migrants.

    A l'heure qu'il est, c'est sans doute du côté des organisations humanitaires que les critiques sont les plus vives. Amnesty International demande à la France de reconsidérer radicalement sa politique migratoire. L'organisation dénonce un traitement binaire de la question. Human Rights Watch s'inquiète des risques pour le droit et la dignité des personnes que pourrait engendrer la nouvelle politique d'Emmanuel Macron.

    Ouvrir un centre d'examen en Libye n'est pas réaliste aujourd'hui, insiste de son côté Médecins sans Frontières qui précise qu’il n’est pas envisageable d'exposer des migrants qui se cachent aujourd'hui par peur des mauvais traitements. Leur demander de se rendre dans ces centres d'examen, c'est les mettre en danger souligne MSF.

    Enfin, du côté des partenaires européens,  on ne sent pas non plus pas un enthousiasme démesuré. Néanmoins, selon l’Elysée, une première mission doit partir fin août pour voir ce qui est possible.

    Chronologie et chiffres clés
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