Il est victime, dit on, d’une seule et une seule chose, son ambition de diriger le
Senegal, sa patrie, sa nation.
Il est, cependant claire que la méthode avec laquelle, il souhaite le faire ne met pas a
l’aise les oligarques occidentaux et ceux qui ont détourés l’argent du contribuable
sénégalais. Sans langue de bois « si je deviens Président de la République, tout ceux
qui détournés l’argent du contribuable sénégalais rendront compte et que tous les
contrats miniers, licences de pèche seront renégociés » plus loin, il ajoute,
‘l’employabilité des jeunes une priorité absolue’. Depuis que l’homo sokis est entrée
dans l’arène politique le discours a change. Un nouveau style de discours renait, celui
de la rupture avec la politique française en Afrique.
En 2014, il est porté à la tête d’un nouveau parti politique dénommé «Patriotes du Sénégal pour
le Travail, l’Éthique et la Fraternité» PASTEF. Ses sorties fracassantes et ses révélations sur les
actes de mal gouvernance lui valurent, en 2016, d’être radié de la fonction publique par décret
présidentiel. Présentement, il s’est installé comme Expert-Consultant et travaille pour son
compte octobre 2018, mes partisans ont été attaqués par des personnes qui voulaient
récupérer les fiches de parrainage. Ils ont même envoyé la gendarmerie chez ma maman
pour récupérer ces fiches », déclare d’emblée Ousmane Sonko.
« En 2016 j’ai été injustement radié de la fonction publique ça c’est une forme de violence.
Le 6 octobre 2018, une militante de Pastef a été lâchement assassinée. Et quelques jours
après son assassinat elle a subi des violences verbales venant des gens du pouvoir. Le
leader de Pastef est revenu sur les attaques subies par son cortège lors des élections de
février 2019. « Le 4 février 2019, ma caravane a été attaquée par des nervis de Mansour
Faye. Le 11 février, notre cortège a aussi été attaqué à Fatick par des nervis du ministre des
Sports. Le 18 février notre cortège est attaqué à Aéro Lao par des nervis de Mountaga Sy de
l’APIX »,
A cela s’ajute le complot ourdi par le pouvoir en place pour l’éliminer, sweet Beatty gâte, et
de la plainte de Moniteur Mame Mbaye NIANG pour diffamation dans l’affaire PRODAC.
Ousmane SONK,O, Président du Réseau des Elus de YAW, était dans son programme de
visite des maires de YEWI AKAN WI , section Dakar dans le programme de
l’intercommunalité le Mercredi et Jeudi.
Le jeudi 09 Février, 2023 son cortège fut victime de jet de grenade lacrymogène.
Voici le message adressé a la nationale et a
l’internationale.
Mes chers compatriotes,
A Dakar, ce jeudi 09 février 2023, mon cortège a essuyé
des tirs de grenades lacrymogènes pour une simple visite
à la mairie de la Patte d’Oie; alors qu’hier, Macky Sall,
président de l’APR, s’est payé, tranquillement, un convoi
politique à Thiès sous prétexte d’un conseil des ministres
décentralisé.
À Mbacké, toujours ce jeudi 09 février 2023, le
commissaire de police a convoqué les responsables du
parti, organisateurs du meeting de Pastef, prévu demain,
pour leur dire que l’activité ne pourrait être tenue au motif
qu’il n’y a que deux signataires sur la lettre d’information à
l’administration.
Au moment où nous écrivons ces lignes, certains parmi
eux sont en état d’arrestation, y compris un député à
l’Assemblée nationale, l’honorable Cheikh Thioro Mbacké.
La forfaiture du préfet, auteur de cette décision est
choquante. En effet, en ouvrant les guillemets pour citer
l’article 96 du code pénal du Sénégal en vigueur, comme
base légale de « l’interdiction », le préfet du département
de Mbacké, monsieur Amadoune Diop, a reproduit les
dispositions, non pas du Code pénal, mais celles de la loi
N*74-13 du 24 juin 1974, d’ailleurs abrogée, dans ses
dispositions contraires, par l’article 18 de la loi N° 78-02
DU 29 janvier 1978 relatives aux réunions. Cette forfaiture
ne passera pas!
Nous avons saisi la Cour Suprême d’une requête en
référé aux fins de l’annulation de cette honteuse décision.
En attendant la décision du juge des référés, le Mega
Meeting de Mbacké reste maintenu ! Au préfet qui s’est
courbé devant les ordres illégaux de ses supérieurs d’en
assumer les conséquences devant l’histoire.
En conséquence, j’appelle les militants et sympathisants à
maintenir la très forte mobilisation notée qui crée la
psychose chez Macky Sall au point qu’il ait besoin d’être «
rassuré » par une mobilisation payante de ses
responsables et alliés politiques moribonds.
En tout état de cause, j’avais déjà formulé mon intention
d’accomplir ma prière du vendredi dans la cité religieuse
de Touba avant de me rendre à Mbacké solliciter les
prières auprès de Serigne Amdy. Modou Mbenda Fall,
khalife des baye Fall, je compte bien m’en acquitter par la
grâce de Dieu.
Aucune dictature ne prospérera au Sénégal et plus
aucune forfaiture ne sera tolérée. Macky Sall gagnerait à
le comprendre, pendant qu’il est encore temps, pour
préserver la paix civile.
La démocratie est véritablement encline de disparition au
Senegal.